les relations entre les mineurs et la compagnie des mines
Des relations paternalistes
L'école, la maison du docteur et le centre familial ménager sont tous les trois des signes de paternalisme (la compagnie des mines se
comporte comme un père avec les mineurs : elle en prend soin mais peut aussi les
punir).
La compagnie des mines est paternaliste avec ses mineurs car elle construit des maisons et des dispensaires pour attirer les mineurs pour qu'ils travaillent à la fosse pour la compagnie. La compagnie cherchait à attirer les mineurs parce qu'il fallait beaucoup de main d'œuvre pour un travail très pénible et la compagnie voulait les garder car si elle recrutait quelqu'un de nouveau, il fallait le reformer alors que les anciens connaissaient déjà le métier.
L’école de la Solitude était une école pour enfants de mineurs (garçons & filles) et comme son nom l'indique, elle se trouve dans la cité de la Solitude. L'école de la Solitude est toujours active. Elle a été construite par la compagnie des mines, pour que les mineurs se sentent bien, et n'aient pas envie de partir.
A Frais-Marais il y avait une maison de Docteur mais la compagnie à également construit des dispensaires. Les dispensaires sont des lieux de consultations, de soins médicaux et de vaccinations. Elle construisait cela pour les mineurs qui avaient la Silicose.
Le centre familier ménager était une école pour que les femmes soient de bonnes épouses. Dans ce bâtiment, les femmes ont des cours de cuisine, lessive, couture, jardinage. Les cours portent aussi sur l'hygiène, l'économie domestique et les comptes du ménage. Comme ça les femmes peuvent s'occuper de leurs maris qui sont plus souvent à la mine.
Les garçons, quant à eux, après le certificat d'études à 13 ans, suivent une formation de galibot dans les centres de formation où les conditions du fond sont reconstituées en toute sécurité.
La compagnie des mines est paternaliste avec ses mineurs car elle construit des maisons et des dispensaires pour attirer les mineurs pour qu'ils travaillent à la fosse pour la compagnie. La compagnie cherchait à attirer les mineurs parce qu'il fallait beaucoup de main d'œuvre pour un travail très pénible et la compagnie voulait les garder car si elle recrutait quelqu'un de nouveau, il fallait le reformer alors que les anciens connaissaient déjà le métier.
L’école de la Solitude était une école pour enfants de mineurs (garçons & filles) et comme son nom l'indique, elle se trouve dans la cité de la Solitude. L'école de la Solitude est toujours active. Elle a été construite par la compagnie des mines, pour que les mineurs se sentent bien, et n'aient pas envie de partir.
A Frais-Marais il y avait une maison de Docteur mais la compagnie à également construit des dispensaires. Les dispensaires sont des lieux de consultations, de soins médicaux et de vaccinations. Elle construisait cela pour les mineurs qui avaient la Silicose.
Le centre familier ménager était une école pour que les femmes soient de bonnes épouses. Dans ce bâtiment, les femmes ont des cours de cuisine, lessive, couture, jardinage. Les cours portent aussi sur l'hygiène, l'économie domestique et les comptes du ménage. Comme ça les femmes peuvent s'occuper de leurs maris qui sont plus souvent à la mine.
Les garçons, quant à eux, après le certificat d'études à 13 ans, suivent une formation de galibot dans les centres de formation où les conditions du fond sont reconstituées en toute sécurité.
Des relations conflictuelles : La grève
L'émeute des quatre sous est la première grève à Anzin en 1833. Une autre grande grève des mineurs d'Anzin a lieu en 1884. C'est la première révolte à fort caractère social. La cause de cette grève est la faiblesse des salaires. Cette révolte est décrite dans le roman Germinal d'Emile Zola, elle est devenue un symbole social de lutte contre le capitalisme français du XIXe siècle.
Le syndicalisme. Les syndicats organisaient les grèves pour les raisons suivantes : réclamer des hausses de salaire ou pour lutter contre les conditions de travail très pénibles.
Le syndicalisme. Les syndicats organisaient les grèves pour les raisons suivantes : réclamer des hausses de salaire ou pour lutter contre les conditions de travail très pénibles.