les mineurs
la croissance de la population de Frais Marais
En 1831, Frais Marais comptait 324 habitants.
A cette période, les mines n'existant pas, peu de population vivait à Frais Marais et donc, ça restait la campagne.
Peu de professions étaient disponibles (par exemple, certains étaient cultivateurs comme Maricaux François ; ou domestique comme Payen Pauline comme on peut le voir dans le recensement de la population de Frais Marais de 1831) et uniquement des Français travaillaient.
A cette période, les mines n'existant pas, peu de population vivait à Frais Marais et donc, ça restait la campagne.
Peu de professions étaient disponibles (par exemple, certains étaient cultivateurs comme Maricaux François ; ou domestique comme Payen Pauline comme on peut le voir dans le recensement de la population de Frais Marais de 1831) et uniquement des Français travaillaient.
En 1931, Frais Marais a énormément évolué et compte désormais 4363 habitants (dont 2827 Français et 1536 étrangers). De nombreuses personnes sont venues à cette période de la campagne pour travailler en ville : c'est l'exode rural.
Ils travaillent presque tous dans les mines car à ce moment, de nombreuses mines sont ouvertes (ex : la fosse Déjardin ou la fosse Bernard à Frais Marais, La mine de Courrières, de Lewarde, de Dechy, d'Aniche, d'Azincourt, de Flines lez Râches, de l'Escarpelle ).La plupart ont ouvert au XIXe siècle.
Sur ce registre, on peut voir que différentes nationalités étrangères y figurent (ex : Polonais (Dobrowski, Wojlkowiak). Il s'agit d'immigrés venus faire les travaux les plus difficiles. Dans un premier temps, avant 1914, ils sont Belges, puis dans l'entre-deux-guerres ils sont Polonais et Italiens enfin après 1945, ils viennent du Maghreb et d'Afrique. Ils étaient pour la plupart des illettrés, donc ils ne connaissaient pas les dangers de la mine , vu qu'ils ne savaient pas lire, et ils ne parlaient pas tous la même langue mais il y avait quand même des panneaux avec des dessins et différentes langues.
Ils travaillent presque tous dans les mines car à ce moment, de nombreuses mines sont ouvertes (ex : la fosse Déjardin ou la fosse Bernard à Frais Marais, La mine de Courrières, de Lewarde, de Dechy, d'Aniche, d'Azincourt, de Flines lez Râches, de l'Escarpelle ).La plupart ont ouvert au XIXe siècle.
Sur ce registre, on peut voir que différentes nationalités étrangères y figurent (ex : Polonais (Dobrowski, Wojlkowiak). Il s'agit d'immigrés venus faire les travaux les plus difficiles. Dans un premier temps, avant 1914, ils sont Belges, puis dans l'entre-deux-guerres ils sont Polonais et Italiens enfin après 1945, ils viennent du Maghreb et d'Afrique. Ils étaient pour la plupart des illettrés, donc ils ne connaissaient pas les dangers de la mine , vu qu'ils ne savaient pas lire, et ils ne parlaient pas tous la même langue mais il y avait quand même des panneaux avec des dessins et différentes langues.
les dangers de la mine
Les mineurs pouvaient devenir sourds, car il y avait tout le temps du bruit dû aux marteaux piqueurs et aux couloirs oscillants qui transportent le charbon.
Il y a comme maladie la silicose : C'est une maladie pulmonaire provoquée par l'inhalation de poussières, plus particulièrement des poussières de silice.
Il y a aussi le coup de grisou : C'est un gaz invisible et inodore qui explose. Très redoutées des mineurs, les explosions, appelées « coups de grisou », ont causé de nombreuses victimes dans les mines profondes du monde entier (wikipedia). Par exemple, en 1906 à Courrières, le coup de grisou le plus meurtrier d'Europe a fait 1099 morts.
Les autres dangers sont : les inondations et les éboulements.
Il existe également des dangers techniques, par exemple un membre peut être écrasé par un wagon ou par un bloc de charbon qui est tombé, les tendons ou les doigts peuvent être coupés par la rupture d'un câble.
Il y a comme maladie la silicose : C'est une maladie pulmonaire provoquée par l'inhalation de poussières, plus particulièrement des poussières de silice.
Il y a aussi le coup de grisou : C'est un gaz invisible et inodore qui explose. Très redoutées des mineurs, les explosions, appelées « coups de grisou », ont causé de nombreuses victimes dans les mines profondes du monde entier (wikipedia). Par exemple, en 1906 à Courrières, le coup de grisou le plus meurtrier d'Europe a fait 1099 morts.
Les autres dangers sont : les inondations et les éboulements.
Il existe également des dangers techniques, par exemple un membre peut être écrasé par un wagon ou par un bloc de charbon qui est tombé, les tendons ou les doigts peuvent être coupés par la rupture d'un câble.
la vie des mineurs
Les mineurs ont une vie difficile : ils se lèvent très tôt le matin, à 5h, ils travaillent 10h par jour et avec de légers vêtements. Les mineurs sont croyants et vont à l'église. Ils sont payés deux fois par mois, mais n'ont pas beaucoup de moyens par rapport aux autres. Les mineurs vont à la mine à partir de 12 ans à partir de 1874.
Dans la journée, les mineurs mangent à midi, le briquet, c'est-à-dire un bout de pain et du jambon, et à seize heures ils remontent.
Dans la journée, les mineurs mangent à midi, le briquet, c'est-à-dire un bout de pain et du jambon, et à seize heures ils remontent.